Il y a un problème avec le traitement de la photo avec la première personne « Ken Kirz Bey ». Aline : « Dieu se lamente, sans dire un mot, il est terrifié. C’est l’interprétation de la scène à laquelle je m’intéresse », c’est confrontant, c’est fort. Et il y a un contraste fort, pour moi, entre le portrait de Ken Kirz Bey et celui de Rachida Dati, en face.